03.05.2007


La réunion 2007 du Groupe de Bilderberg (le gouvernement mondial occulte) a rassemblé l'élite de la politique, de la finance, de l'économie et des médias à Istanbul du 31 mai au 3 Juin au palace Ritz-Carlton.
Comme d'habitude, les médias ne vous diront pas un mot sur cette réunion. Et comme d'habitude encore, la réunion du G8 aura lieu une semaine plus tard, pour appliquer les décisions qui auront été prises à la réunion du Bilderberg.
Le choix d'Istambul marque l'importance que les "Maitres du Monde" accordent à l'entrée de la Turquie dans l'Union Européenne. Cela traduit aussi l'imminence de cette entrée.



Liste des participants, par ordre alphabétique:

- George Alogoskoufis Ministre grec de l'économie et des finances
- Ali Babacan Ministre turc des affaires étrangères
- Edward Balls Economic Secretary to the Treasury, Grande Bretagne
- Francisco Pinto Balsemão PDG Impresa, ex premier ministre du Portugal
- José Manuel Barroso President de la Commission Européenne
- Queen Beatrix Reine des Pays-Bas
- Prince Bernhard Co-fondateur du Groupe de Bilderberg, ancien officier SS
- Franco Bernabé Vice-président de Rothschild Europe
- Nicolas Beytout Rédacteur en chef du journal Le Figaro
- Carl Bildt Former Prime Minister (Sweden)
- Hubert Burda PDG de Hubert Burda Media Holding (Belgique)
- Philippe Camus PDG de EADS
- Henri de Castries PDG d'AXA
- Juan Luis Cebrian PDG du groupe PRISA media group (Espagne)
- Kenneth Clark Député de Grande Bretagne
- Timothy C. Collins PDG de Ripplewood Holdings LLC (USA)
- Bertrand Collomb PDG de Lafarge
- George A. David PDG de Coca-Cola
- Etienne Davignon Président du Groupe de Bilderberg, président et fondateur de l'European Round Table (lobbie des multinationales européennes auprès de la Commission Européenne), ex vice-président de la Commission Européenne, membre de la Commission Trilatérale, membre du directoire du think tank Centre for European Policy Studies, ancien ministre belge des affaires étrangères, président de l'Association pour l'union monétaire en Europe, premier président de l'Agence Internationale de l'Energie, président de la Société Générale de Belgique, vice-président de Suez-Tractebel, administrateur de Kissinger Associates, Fortis, Accor, Fiat, Suez, BASF, Solvay, Gilead, Anglo-american Mining, entre autres...
- Kemal Dervis Administrateur de UNDP (Turquie)
- Anders Eldrup President de DONG A/S (Danemark)
- John Elkann Vice-président de Fiat 
- Martin S. Feldstein Président du National Bureau of Economic Research (USA)
- Timothy F. Geithner President de la FED (banque centrale américane) de New York
- Paul A. Gigot Editorialiste au Wall Street Journal
- Dermot Gleeson PDG de AIB Group
- Donald E. Graham PDG du Washington Post
- Victor Halberstadt Professeur d'économie à l'université de Leiden (Pays-Bas) et ex secrétaire général des meetings du Bilderberg
- Jean-Pierre Hansen PDG de Suez-Tractebel
- Richard N. Haass President du Council on Foreign Relations (CFR)
- Richard C. Holbrooke Vice-président de Perseus LLC
- Jaap G. Hoop de Scheffer Secretaire Général de l'OTAN
- Allan B. Hubbard Conseiller de Bush pour la politique économique, et directeur du National Economic Council
- Josef Joffe Rédacteur en chef du journal allemand Die Zeit
- James A. Johnson Directeur général adjoint de Perseus LLC
- Vernon E. Jordan Jr.Senior Managing Director de la banque Lazard Frères
- Anatole Kaletsky Editorialiste du journal The Times
- John Kerr of Kinlochard Président de Royal Dutch Shell plc (the Netherlands)
- Henry Kissinger Président de Kissinger Associates, ministre des affaires étrangères de Nixon (placé auprès de lui par Rockefeller)
- Mustafa V. Koç Président de Holding A.S. (Turquie)
- Fehmi Koru Journaliste à Yeni Safek (Turquie)
- Bernard Kouchner Ministre français des Affaires étrangères
- Henry R. Kravis Founding partner de Kohlberg Kravis Roberts & Co. (USA)
- Marie-Josée Kravis Membre de la direction de l'Hudson Institute (USA)
- Neelie Kroes Commissaire européenne au marché intérieur et à la concurrence
- Ed Kronenburg Directeur du Private Office au quartier général de l'OTAN
- William J. Luti Conseiller spécial de Bush pour la politique de défense, et stratège au National Security Council (NSC)
- Jessica T. Mathews Presidente du think tank Carnegie Endowment for International Peace
- Frank McKenna Administrateur du Carlyle Group, ex ambassadeur du Canada aux Etats-Unis
- Thierry de Montbrial Président de l'IFRI (think tank français de politique internationale)
- Mario Monti Ex Commissaire européen au marché intérieur, président de l'Université Luigi Bocconi de Milan
- Craig J. Mundie Ingénieur en chef, reponsable des stratégies avancées de Microsoft
- Egil Myklebust Président du directoire de SAS Norsk Hydro (Norvège)
- Matthias Nass Editorialiste du journal allemand Die Zeit
- Adnrzej Olechowski Leader Civic Platform (Poland)
- Jorma Ollila PDG de Nokia
- George Osborne Futur ministre des finances britannique en cas de victoire es Conservateurs
- Tommaso Padoa-Schioppa Ministre des finances de l'Italie
- Richard N. Perle Membre de l'American Enterprise Institute for Public Policy Research (think tank américain)
- Heather Reisman PDG de Indigo Books & Music Inc. (Canada)
- David Rockefeller Grand banquier (ex PDG de la Chase Manhattan Bank), co-fondateur du Groupe de Bilderberg, ex-président du Council on Foreign Relations (CFR), président et co-fondateur de la Commission Trilatérale
- Matías Rodriguez Inciarte Vide-président exécutif du groupe Santander Bank (Espagne)
- Dennis B. Ross Directeur du Washington Institute for Near East Policy (think tank américain pour la politique étrangère au Moyen-Orient)
- Otto Schily Député allemand, ex ministre de l'Intérieur, membre du Committee on Foreign Affairs
- Jürgen E. Schrempp Ex-PDG de Daimler Chrysler
- Tøger Seidenfaden Rédacteur en chef du journal Politiken (Danemark)
- Peter D. Sutherland PDG de BP et administrateur de Goldman Sachs
- Giulio Tremonti Ex ministre des finances de Berlusconi, vice-président du parlement italien
- Jean-Claude Trichet Gouverneur de la Banque Centrale Européenne
- John Vinocur Journaliste en chef à l'International Herald Tribune
- Jacob Wallenberg PDG de la banque Investor AB
- Martin H. Wolf Journaliste économique au Financial Times
- James D. Wolfensohn Ex-président de la Banque Mondiale
- Robert B. Zoellick Sécrétaire d'état et négociateur américain au commerce
- Klaus Zumwinkel Président du directoire de Deutsche Post
- Adrian D. Wooldridge Journaliste du magazine The Economist
03.05.2007
Sur la profession de foi électorale de Nicolas Sarkozy et de Ségolène Royal figure un message écrit de leur main. Leur écriture a été analysée par le graphologue Jean-Paul Gauthier, psycho-graphologue et expert judiciaire en écritures.

Ecriture de Nicolas Sarkozy:



"Ce qui frappe tout d'abord, c'est la distorsion importante entre son écriture et sa signature. Une écriture petite, fragile, régressive, avec plusieurs lettres à rebours, mal formées ou imprécises, des torsions et une direction chancelante qui sont signes de "mal être", d'anxiété et d'inhibition. Par contre, une signature très différente dans plusieurs aspects et notamment dans sa dimension - voir le "N", le "l" et le "S" surélevés comme s'il voulait grandir et paraître fort aux yeux des autres. Certains psychologues parleraient d'un complexe d'infériorité surcompensé. "J'ai des cicatrices partout" confiait-il récemment à un journaliste. Il le confirme bien par son écriture.

Quand on compare donc son écriture et sa signature, on peut se demander si cet être tourmenté a réellement les capacités pour réaliser ses ambitions. D'autre part, lorsqu'on lit le texte, on reste atterré. Pourquoi éprouve-t-il le besoin de nous dire qu'il ne nous mentira pas, qu'il ne nous trahira pas, qu'il ne se dérobera pas? Comme si on pouvait douter de sa sincérité. Eh bien oui, on peut en douter, car beaucoup de graphologues considèrent que les lettres à rebours, mal formées, les gestes régressifs, les reprises ou les torsions sont des signes d'insincérité. En quelque sorte, on peut dire que ce qu'il affirme est contredit par son graphisme."

On peut ajouter que son écriture est inclinée vers la gauche, ce qui est un signe très négatif indicateur de fausseté."


Ecriture de Ségolène Royal:



"C'est une écriture très structurée, claire, précise, anguleuse et en arcades qui révèle à la fois de la ténacité, de la rigueur, une certaine rigidité et un désir d'être comprise. Chez elle, on ne remarque aucune distorsion entre son écriture et sa signature; au contraire, entre son être intime et ce qu'elle veut paraître, il existe une très grande harmonie qui lui permet de puiser sa force dans la quête d'approbation d'autrui. Elle peut connaître parfois des moments de fatigue ou de découragement ( la direction des lignes est de temps en temps descendante), mais, elle se ressaisit très vite. Il semble bien qu'elle a su faire face aux épreuves, non pas en se repliant sur elle-même, mais au contraire en ouvrant les yeux sur les autres."
06.05.2007
Pour la première fois, les astronomes ont découvert une exoplanète propice au développement de la vie. Depuis 10 ans, plus de 200 planètes ont été découvertes hors du système solaire, en orbite autour d'autres étoiles. Mais aucune de ces planètes ne présentait les conditions nécessaires à la vie.

Cette nouvelle exoplanète est en orbite autour de l'étoile Gliese 581, une naine rouge dont la masse est de moins du tiers de celle du Soleil. Elle est située à 20,5 années-lumière, soit 200.000 milliards de kilomètres, une distance relativement proche à l'échelle de la galaxie. Gliese 581 est l'une des 100 étoiles les plus proches de nous.

La planète est tellurique, c'est à dire avec une surface solide comme la Terre. Elle n'est ni trop éloignée ni trop proche de son étoile. Sa température est de 0 à 40°C, ce rend possible la présence d'eau liquide, condition indispensable à la vie telle que nous la connaissons sur Terre.
Le diamètre de la planète est de 1,5 fois celui de la Terre, et sa masse est 5 fois supérieure à la terre. La gravité y est 2,2 fois plus forte que sur Terre. Et elle fait le tour de son étoile en seulement 13 jours terrestres, à une distance qui représente 1/14è de celle qui sépare la Terre du Soleil.

Cette planète a été découverte avec le télescope Harps de 3,6 m de l'Observatoire spatial européen (ESO) de la Silla, au Chili. Une autre exoplanète avait été détectée autour de Gliese 581 par la même équipe d'astronomes en 2005. Sa masse (15 fois celle de la Terre) était comparable à celle de Neptune et elle orbite autour de son étoile en 5,4 jours, à une distance encore plus proche que la planète tellurique qui vient d'être découverte.

Les astronomes ont également observé une troisième planète autour de Gliese 581. D'une masse huit fois supérieure à la Terre et beaucoup plus froide, elle réalise son orbite en 84 jours.
06.05.2007
Le premier gouvernement de Sarkozy compte quinze ministres (8 hommes et 7 femmes), quatre secrétaires d'Etat et un haut commissaire.

Nicolas Sarkozy a tenu sa promesse à Nicolas Hulot, le ministre de l'écologie devient le numéro 2 du gouvernement et sera aussi responsable de l'aménagement du territoire et du développement durable. Le poste a été confié au chiraquien Alain Juppé, qui était tout sauf un écologiste mais qui dit avoir eu une prise de conscience au Canada.

Mais Sarkozy a aussi tenu sa promesse de créer son ministère de l'immigration et de l'identité nationale, ce qui rappelle la sinistre période du gouvernement de Vichy. Le ministère est attribué à Brice Hortefeux, une fonction qui lui va comme un gant. Contrairement à ses premières intentions, Nicolas Sarkozy n'a pas nommé Hortefeux ministre de l'intérieur, on évite donc le pire.

Autres nominations rassurantes: le ministère de la Justice est attribué à Rachida Dati, au lieu de l'ancien activiste d'extrême-droite Patrick Devedjian, sarkozyste de la première heure et pressenti à l'origine pour cette fonction. Le ministère de la Défense est confié à Hervé Morin, un centriste proche de François Bayrou qui a rallié Sarkozy au 2è tour. Et le ministère des affaires étrangères va à Bernard Kouchner.

Le transfuge socialiste Eric Besson est remercié par un "secrétariat d'état à la prospective et l'évaluation des politiques publiques". Lorsqu'il avait démissionné du Part Socialiste en pleine campagne électorale, Ségolène Royal avait minimisé l'événement par un méprisant "mais qui connaît Mr Besson?". Désormais, tout le monde connaît Mr Besson.
Martin Hirsh, le président d'Emmaüs, est nommé "haut commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté".

Jean-Pierre Jouyet, un haut fonctionnaire de centre gauche (proche de François Hollande) devient secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et européennes, chargé des Affaires européennes.

Autre élément intéressant: le ministre de la fonction publique disparait, cette fonction est désormais rattachée à un ministère "du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique", ce qui sous-entend que les fonctionnaires sont une charge et que celle-ci doit être réduite.
 
Le cabinet de Nicolas Sarkozy:

Parallèlement au gouvernement, une part importante des décisions seront élaborées à l'Elysée par le cabinet de Nicolas Sarkozy. Ce cabinet est composé par:

- Claude Guéant (bras de Sarkozy), nommé secrétaire général de l'Elysée
 
 
- Raymond Soubie, spécialiste en démolition sociale sera le conseiller pour les questions sociales. Il est le président et fondateur d'Altedia, une société leader dans le conseil aux entreprises pour mettre en place des "restructurations" et des "plans sociaux", bref, pour augmenter les profits en "dégraissant" plus facilement le personnel. Très introduit dans les cercles du pouvoir à droite, Raymond Soubie avait déjà beaucoup "conseillé" les gouvernements Raffarin et Villepin dans leur mesures de démolition sociale.


 
- Henri Guaino (rédacteur des discours de Sarkozy pendant la campagne) exercera la fonction de conseiller spécial

- Jean-David Levitte (ambassadeur de France à Washington) sera conseiller diplomatique

- Emmanuelle Mignon est nommée directrice de cabinet

- David Martinon, conseiller en communication de Sarkozy devient porte parole de l'Elysée.
Conseillers sans fonction particulière:

- Catherine Pégard, journaliste politique au Point, anciennement chargée de suivre Sarkozy pendant la campagne, est ainsi remerciée pour ses articles élogieux

- Georges-Marc Benamou, écrivain anciennement de gauche, confident de Mitterrand dans ses derniers mois, ex-rédacteur en chef de Globe dans les années 80, un magazine culturel mitterrandien financé par Pierre Bergé (PDG de Yves Saint Laurent et ami de Mitterrand).
 
06.05.2007
Il y a un mois, j'ai changé ma version Chirac 2.0 par la version Sarkozy 1.0 et j'ai noté que le programme a lancé une application inattendue appelée maintenant_vous_allez_vraiment_en_chier 1.0 qui a considérablement réduit les performances de mon processeur.

Dans la notice, cette application n'était pourtant pas mentionnée.

De plus, Sarkozy 1.0 s'installe dans tous les autres programmes et se lance automatiquement lors du lancement de n'importe quelle application, parasitant l'exécution de celle-ci.

Des applications telles que liberté-d-expression 8.9 ou vivre-ensemble 3.2 ne fonctionnent plus.

De plus, des programmes occultes (virus ?) nommés Folie Furieuse 4.6, Démagogie 7.0 et Autoritarisme 9.5 se lancent de temps en temps et soit plantent le système, soit font que Sarkozy 1.0 se comporte de façon totalement inattendue.

Je n'arrive pas à désinstaller ce programme ce qui est très embêtant, surtout quand j'essaye d'exécuter l'application Joie_de_vivre 8.2.

Par ailleurs, la commande : /service_public.exe ne fonctionne plus.

D'autres utilisateurs de Sarkozy 1.0 m'ont fait part de l'existence d'applications telles que t'as_tes_papiers 6.0 et allez_zou_charter_bamako version 3.4 liées à l'utilisation de Sarkozy 1.0 sur certains processeurs.

J'envisage de revenir à la version Chirac 2.0 que j'avais avant, mais cela a l'air très compliqué.

Que faire ?

Un utilisateur démoralisé.
08.05.2007
Le message des Résistants à l'occasion du 60è anniversaire du programme de la Résistance adopté dans la clandestinité le 15 mars 1944.

Ce programme a été mis en oeuvre après la Libération par le gouvernement d'union nationale du général De Gaulle, établissant des avancées sociales et politiques qui sont aujourd'hui largement menacées.

Avec Lise London, Raymond Aubrac, Henri Bartoli, Philippe Dechartre, Stéphane Hessel, Maurice Kriegel-Valrimont, Georges Séguy, Maurice Voutey.

voir la vidéo
13.05.2007
L'annonce par les médias de la mort de Sarkozy à l'âge de 87 ans alors qu'il entamait son 8è mandat. Les journaux télévisés d'une France transformée retracent le parcours du "petit père de la nation"...

14.05.2007
Au ministère de l'intérieur, Nicolas Sarkozy a commis plusieurs fautes graves qui aurait été éliminatoires pour n'importe quel autre candidat à la fonction présidentielle.

Mais les médias ont effectué un traitement assymétrique de l'information. Toutes les fautes et mensonges de Sarkozy ont été minimisées. Et pendant la campagne, toutes les fautes de Ségolène Royal ont été sur-amplifiées (Montebourg mis "au piquet", la "bravitude", le voyage au Proche-Orient, etc). Le "public" a été dressé à chercher la paille dans l'oeil de Ségolène, plutôt que de voir la poutre dans l'oeil de Sarkozy.

Nicolas Sarkozy doit sa victoire à Ségolène Royal et son manque de crédibilité, mais il la doit surtout aux médias qui ont réalisé un magnifique travail à son service depuis 5 ans.
 
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