20.01.2008
Comme chaque année, l'élite du pouvoir financier, économique et politique s'est réunie au World Economic Forum de Davos en Suisse. En plus des habituels grands patrons de multinationales, il y avait notamment
- le haut commissaire des "Maitres du Monde" Henry Kissinger (membre du Groupe de Bilderberg, du Bohemian Club, de la Trilatérale et du CFR)
- le nouveau directeur du FMI Dominique Strauss Kahn (le ministre mondial du commerce, membre du Groupe de Bilderberg)
- le secrétaire général de l'OCDE Angel Gurría (ministre mondial de l'économie, membre du Groupe de Bilderberg )
- le président de la BCE Jean-Claude Trichet (membre du Groupe de Bilderberg)
- l'inévitable Bill Gates
- le premier ministre anglais Gordon Brown (membre du Groupe de Bilderberg) ainsi que son prédécesseur Tony Blair (membre du Groupe de Bilderberg et du Bohemian Club)
- la secrétaire d'état américaine Condoleezza Rice (membre du CFR)
- le président pakistanais Pervez Musharraf
- le premier ministre français François Fillon (membre du Siècle) venu affirmer la conversion de la France au libéralisme
- et comme les deux années précédentes pour faire plus glamour, quelques "people": Bono, le chanteur-business man de U2, Paulo Coelho et Naomi Campbell.

en images, les éditions 2004, 2006 et 2007 du forum de Davos
23.01.2008
  
  

Si vous ne connaissez pas encore, regardez "Baraka", un film sur la planète et l'humanité, et plus particulièrement notre société industrielle. Un message fort sans commentaires, ni dialogues, ni acteurs, avec simplement des images et de la musique, dans la lignée de Koyaanisqatsi".

Pour vous faire une idée du film, voici une de ses séquences fortes...
Et montez le son sur votre ordi !



voir le film
23.01.2008

Le documentaire "les mystères du 11 septembre" est une enquête appronfondie sur l'effondrement du World Trade Center. Les témoignages de nombreuses personnes, notamment des pompiers présents dans la tour, font état de forts bruits d'explosions qui ont précédé l'effondrement. Par ailleurs, l'étrange efffondrement de l'immeuble numéro 7 n'a fait l'objet d'aucune investigation du FBI. La seule explication officielle est celle donnée par le propriétaire de l'immeuble 7, et elle est complètement incohérente. Selon des spécialistes, ces effondrements ressemblent en tous points à des démolitions contrôlées par explosifs. Enfin, on apprend que d'étranges travaux avaient eu lieu au Word Trade Center une semaine avant les attentats, et que le directeur de la société de sécurité chargée du WTC n'était autre qu'un membre de la famille Bush...

L'hypothèse de la démolition contrôlée est la plus probable pour l'immeuble 7, mais pas forcément pour les 2 tours principales. La puissance destructrice des ondes de choc provoquées par l'extrême violence du 2è impact peut expliquer l'effondrement de la tour Sud, celui-ci générant des vibrations qui ont achevé de fragiliser la tour Nord, mais à vous de juger.

Quoi qu'il en soit, de nombreux autres faits bien établis suffisent à démontrer l'implication de l'administration Bush dans les attentats:
- projets de la mafia Bush pour envahir l'Irak avant même son arrivée à la Maison-Blanche
- recherche d'un prétexte pour justifier cette invasion
- liens entre Ben Laden et la CIA pendant l'occupation russe de l'Afghanistan
- liens financiers entre les familles Bush et Ben Laden (notamment au sein du groupe Carlyle)
- visite d'un agent de la CIA à Ben Laden hospitalisé à Dubai 2 mois avant les attentats
- surveillance des réseaux islamistes délibérément mis en veilleuse pendant les mois précédent les attentats
- avions de chasse empêchés d'intervenir pour intercepter les boeings détournés
- nombreuses invraissemblances de la version officielle (impossibilité de retrouver intact le passeport de Mohamed Atta dans les décombres, impossibilité d'un impact d'avion contre le Pentagone...)
- lois liberticides prêtes à etre adoptées seulement 6 jours après les attentats
- absence d'enquête du FBI sur les attentats
- absence totale d'enquête sur l'effondrement de l'immeuble 7
- enterrement de l'enquête pour retrouver ceux qui étaient manifestement au courant que les attentats allaient avoir lieu et qui avaient spéculé en bourse sur la chute des actions des compagnies aériennes et des assurances...
29.01.2008
Plus de 1,3 million de foyers américains ont perdu - ou étaient sur le point de perdre - leur logement en 2007, faute d'avoir pu rembourser des emprunts souvent devenus plus chers que le prix de leur logement.
Plus de 1% des ménages américains ont déjà été explusés après saisie de leur logement. Le nombre de logements saisis a augmenté de 79% sur un an, et le phénomène s'est encore accéléré en décembre, et cela risque de continuer encore un ou deux ans selon les experts financiers. Au total, 6 millions d'Américains risquent de se retrouver à la rue, du jamais vu depuis la grande dépression de 1929.

La multiplication des saisies a transformé certaines banlieues américaines en quartiers fantômes vidés de leurs habitants. Ce ne sont pas que les propriétaires qui doivent partir, mais aussi les locataires quand le propriétaire est saisi.

Depuis 2001, la spéculation immobilière a battu tous les records, obligeant à s'endetter lourdement pour acheter un logement. Un salaire ordinaire était devenu insuffisant pour qu'une demande de prêt classique soit accepté par les banques. Beaucoup ont été obligés de recourrir aux fameux "subprime", des prêts accordés sans salaire important en garantie, mais avec des taux d'intérêts très élevés en contrepartie, pour compenser le "risque" plus grand pris par les banques. Avec la hausse des prix des produits de base combinée à la stagnation des salaires et la hausse des taux d'intérêt (aux Etats-Unis, la plupart des emprunts sont à taux variable, indexés sur les taux de la FED), beaucoup d'Américains se sont retrouvés étranglés, incapables de payer leurs mensualités qui s'ajoutaient aux crédits contractés par ailleurs. (Ces dernières années, les classes moyennes ont massivement eu recours au crédit pour pouvoir continuer à satisfaire leur frénésie de consommation, s'endettant en moyenne à 110% de leur revenu annuel).