05.02.2010


Une document rare qui montre la genèse d'une chanson culte de Serge Gainsbourg, "Initials BB"... Cela commence par des mots jetés sur une feuille, puis les premières notes de la mélodie au piano, la mise en place avec le chef d'orchestre et les musiciens à Londres, et enfin l'enregistrement...
05.02.2010



Le générique et le début du film réalisé en 1962 par Jean-Luc Godard et porté par l'envoutante musique de George Delerue. On y retrouve Brigitte Bardot, Jack Palance, Michel Piccoli et des apparitions de Fritz Lang. C'était l'époque où soufflait un vent de liberté, où le cinéma n'était pas entièrement aux mains des multinationales, et où un film pouvait être de l'art...
14.02.2010
Le 15 mars 1968, le journal Le Monde, alors indépendant, publie un article prémonitoire de Pierre Vianson Ponté, intitulé "la France s'ennuie".

"Ce qui caractérise actuellement notre vie publique, c'est l'ennui. Les Français s'ennuient. Ils ne participent ni de près ni de loin aux grandes convulsions qui secouent le monde, la guerre du Vietnam les émeut, certes, mais elle ne les touche pas vraiment.

La jeunesse s'ennuie. (...) Quant aux jeunes ouvriers, ils cherchent du travail et n'en trouvent pas. (...) Heureusement, la télévision est là pour détourner l'attention vers les vrais problèmes: l'état du compte en banque de Killy, l'encombrement des autoroutes, le tiercé, qui continue d'avoir le dimanche soir priorité sur toutes les antennes de France."

De même que la France de Sarkozy étouffe sous un régime policier, la France du général de Gaulle étouffe sous les règles, le conformisme, et le pouvoir absolu de la droite. Dans les lycées, filles et garçons sont séparés. Des tenues strictes sont exigées. Le jean est interdit et les filles n'ont pas le droit d'être en pantalon. Les élèves doivent se lever quand le professeur entre dans la classe.

Tout va commencer par un incident banal, une punition contre des étudiants de Nanterre qui avaient transgressé l'interdiction d'aller dans le dortoir des filles. Les étudiants commencent alors une grève qui va faire tache d'huile, se propageant aux universités parisiennes, et en particulier à la Sorbonne qui est occupée par les étudiants grèvistes. Le pouvoir gaulliste réagit par la répression policière, en envoyant les CRS déloger les étudiants, dont certains sont arrêtés et emprisonnés. En réaction, les grandes manifestations du quartier latin commencent...

La suite des évènements avec un extrait de "68", le documentaire de Patrick Rotman...




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ou si vous avez plus de temps, le film à partir du début, avec Woodstock et la guerre du Viet Nam dans laquelle s'embourbaient les Etats-Unis, comme aujourd'hui en Afghanistan et en Irak...

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Un autre résumé des événements en France avec un documentaire diffusé dans "Droit d'inventaire" sur France 3. La première partie est consacrée aux manifestations étudiantes, aux barricades dans le Quartier Latin, aux grèves, et à la façon dont les syndicats, et en particulier la CGT, s'est révélée être les meilleurs alliés du pouvoir pour étouffer la révolte et favoriser le retour à l'ordre, en réduisant une contestation global de la société à de simples revendications salariales...

La deuxième partie est centrée sur le contrôle de la télévision par le pouvoir, la censure quotidienne, et la grande grève des journalistes qui s'en est suivie, avant des licenciements massifs en représailles. Et la troisième partie est celle du retour à l'ordre...

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Quelques photos en diaporama...

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Enfin, une musique qui représente bien l'atmosphère et l'énergie de ces années là, Pierre Henry et sa "Messe pour le temps présent", composée pendant l'été précédent, en 1967...




 
21.02.2010
Sortie en 1971, la musique du film "The Shaft" par Isaac Haayes. Elle évoque bien l'atmosphère de ces années, la liberté, la légèreté et surtout l'optimisme. L'homme venait de mettre le pied sur la Lune, le monde ne connaissait ni la crise ni le chomage, la pollution n'était pas encore un problème, les ressources naturelles semblaient illimitées, et le progrès scientifique social et économique promettait ne jamais avoir de fin...


 
21.02.2010
A la fin des années 60, le pouvoir des "Maitres du Monde" a vacillé pour la première fois... et aussi pour la dernière fois.

Simultanément dans plusieurs pays du Monde, des mouvements de masse spontanés engendrés par des causes différentes avaient en commun d'exprimer au même moment une révolte contre le pouvoir et l'ordre établi.

Aux Etats-Unis, la révolte des étudiants contre la guerre au Viet-Nam.

En France, Mai 68 et la révolte de la jeunesse contre le manque de libertés et l'atmosphère étouffante de la France des années De Gaulle, et une contestation de la "société de consommation".

En Tchécoslovaquie, la révolte contre l'ordre communiste imposé par l'Union Soviétique.

1968 fut une révolution politique, mais aussi culturelle, avec des centaines d'artistes, musiciens, cinéastes, philosophes, écrivains qui inventaient une nouvelle manière de voir le monde, de ressentir les choses, et de les exprimer, autour de valeurs à l'opposé du conditionnement social.

Les élites dirigeantes ont d'abord été sous le choc de cette révolution qu'ils n'avaient pas vu venir, et qui menaçait directement leur emprise sur la société et leur système de contrôle par le travail, la consommation et le divertissement.

Il leur fallut 4 années pour mettre au point leur réponse, dont le but était de neutraliser la contestation sociale, et de la rendre de plus en plus difficile à l'avenir.




Puisque la jeunesse dénigrait la consommation le travail et l'argent, le meilleur moyen de les rendre à nouveau désirables était d'en organiser le manque.

Par ailleurs, il fallait contrer la montée des revendications syndicales et renverser le rapport de force entre l'entreprise et les salariés. La solution était d'organiser un chômage massif et permanent, afin que chaque salarié vive sous la pression et la peur du chômage.

C'est ainsi que fut décidée et montée de toutes pièces la "crise du pétrole" de 1973. La cause officielle fut l'embargo sur le pétrole décidé par les pays arabes en représailles contre l'Occident après la guerre du Kippour. Le doublement des prix du pétrole a provoqué une crise économique mondiale. Ce qui est moins connu est cette hausse des prix résultait d'un accord conclu entre les Maitres du Monde (via la CIA), les multinationales pétrolières, et les pays producteurs. Chacun y trouvait son compte. Les pays producteurs augmentaient considérablement leurs revenus, les compagnies pétrolières augmentaient également leurs profits (leur rémunération est calculée en pourcentage par rapport au prix du brut), et les Maitres du Monde obtenaient la crise nécessaire à la réalisation de leur Plan. Un homme a joué un rôle-clé pour s'assurer la collaboration des pays producteurs: George H.W. Bush, le père de George W. Bush. Depuis la fin des années 50, il travaillait officieusement pour la CIA, tout en dirigeant une société pétrolière qu'il avait créé au Texas, la Zapatta Petroleum, également utilisée comme couverture par la CIA, et grâce à laquelle il avait établi des relations personnelles étroites avec les dirigeants des pays du Golfe, en particulier ceux de l'Arabie Saoudite.

La "crise économique" fournit le prétexte pour "dégraisser" massivement les effectifs des entreprises, en remplaçant les salariés par des robots et des ordinateurs. La diminution du nombre de salariés et la quasi-disparition des ouvriers a permis de réduire fortement le nombre de salariés syndiqués. Et ceux qui restaient étaient contraints d'accepter le gel de leur salaire, au nom des "efforts" que les gouvernements demandaient aux citoyens pour "sortir de la crise".

Pendant ce temps, les grandes entreprises ont multiplié leurs profits de façon astronomique. Malgré tout, il était nécessaire de faire croire aux populations que la crise continuait, afin de justifier le chômage massif et le gel des salaires. Les dirigeants politiques ont continué à parler de "crise" jusqu'en 1992, lorsque les profits avaient atteints de tels niveaux qu'il était impossible d'utiliser ce subterfuge plus longtemps.



Pour appliquer leur Plan, les Maitres du Monde devaient changer les gouvernants encore majoritairement partisans de l'Etat-Providence, en les remplaçant par des "agents" dévoués au libéralisme. La "crise économique" avait permis de créer des difficultés économiques propices à une alternance politique, en proposant aux électeurs une idéologie nouvelle, le libéralisme qui permettait de faire croire que les problèmes économiques pouvaient être résolus comme par magie en réduisant le poids de l'état, en donnant une liberté totale aux entreprises, et en réduisant leurs impôts ainsi que ceux des classes les plus favorisées.

Au début des années 1980, les principaux pays occidentaux sont passés sous le contrôle des "agents" de l'idéologie libérale, avec Ronald Reagan aux Etats-Unis, Margaret Thatcher en Grande-Bretagne, Giscard et Raymond Barre en France, Giulio Andreotti en Italie, Helmut Kohl en Allemagne. Tous ont appliqué de manière synchronisée la même politique, en disant à leur population que cette politique était "la seule possible" pour être "plus compétitif", retrouver la "croissance" et "sortir de la crise". Par la suite, la croissance est revenue, mais uniquement pour les bénéfices des entreprises, sans que les salariés en profitent. Pour eux, la "crise" n'a jamais cessé.

Cette première phase de restructuration mondiale s'est achevée avec succès au début des années 1990, avec un bouquet final: la fin de l'Union Soviétique en 1991. Grâce au travail de sape de leur agent Boris Eltsine, les Etats-Unis avaient réussi à faire chuter Gorbatchev, artisan de la démocratisation du bloc de l'est et de la chute du mur à Berlin, mais qui avait le tort de proposer une alternative au libéralisme, avec une "troisième voie" entre capitalisme et communisme.

En 1991, tout était prêt pour le lancement de la 2è grande phase du Plan: le Nouvel Ordre Mondial, proclamé par George Bush père à l'occasion de la première guerre contre l'Irak.

Ce "nouvel ordre mondial" allait rapidement se traduire par ce qu'on allait appeler la "mondialisation", c'est à dire la suppression des barrières douanières pour les marchandises et les capitaux. Ce fut réalisé en 1995, en même temps que la création de l'OMC qui est fonctionellement le ministère mondial du commerce. Dès lors, il n'y avait plus aucun obstacle aux "délocalisations", le moyen ultime pour instituer un nouvel esclavage, grâce à un marché du travail mondialisé où les salariés occidentaux seraient directement en concurrence avec les salariés sous-payés des "pays émergents", cette concurrence engendrant une baisse spectaculaire du "coût du travail", et une augmentation sans précédent des profits (principe des vases communiquants).

En 1971, dans sa chanson "Imagine", John Lennon rêvait d'un monde uni, sans frontières... Les "Maitres du Monde" ont réalisé son rêve... à leur façon.
24.02.2010
George Bush père est incontestablement l'un des hommes clés du Nouvel ordre mondial, avec Henry Kissinger et David Rockefeller.

Directement ou indirectement, il a trempé dans les affaires les plus sombres de ces 50 dernières années.

Après avoir été pilote pendant la 2è guerre mondiale, il commence dès le début des années 50 à travailler officieusement pour la CIA.

En 1953, en association avec un ex agent de la CIA, Thomas J. Devine, il crée, une compagnie pétrolière, la Zapatta Petroleum, qui servira ensuite comme couverture à la CIA pour plusieurs opérations, dont l'invasion de la Baie des Cochons à Cuba.

Un peu plus tard, Bush et Devine sont rejoints par Robert Gow, membre des Skulls and Bones et ancien étudiant de Yale (tout comme Bush).

Grâce à la Zapatta, Bush commence aussi à développer des liens personnels avec les dirigeants de l'Arabie Saoudite, dont la famille Ben Laden...

En 1963, plusieurs éléments laissent penser que George Bush est sérieusement impliqué dans l'assassinat de JFK. D'après le livre de la journaliste Caroline Lebeau, il pourrait en avoir été l'organisateur à Dallas, pour le compte de la CIA.

Sous la présidence de Nixon, c'est encore la Zapatta Petroleum qui a financé les "cambrioleurs" qui avaient installé des micros dans l'immeuble du Watergate.

En 1973, la Zapatta Petroleum a joué un rôle clé pour déclencher la "crise du pétrole", qui résultait d'un accord secret entre les compagnies pétrolières et les pays producteurs de pétrole du Proche Orient. Cette "crise" allait ensuite permettre la "contre-révolution libérale" et la grande restructuration de l'économie qui allait suivre, avec l'instauration d'un chômage massif permanent pour mettre les salariés sous pression et inverser le rapport de force entre salariés et entreprises.


Sous la présidence de Reagan, George Bush devient vice-président, après avoir été pendant 2 ans directeur de la CIA. Pendant la guerre Irak-Iran, c'est lui qui organise alors ce qu'on a appelé l'Iran Gate, qui consistait à fournir secrètement des armes à l'Iran (auquel un embargo US interdisait de vendre des armes), pendant qu'officiellement, les Etats-Unis soutenaient l'Irak. Encore une fois, on retrouve la Zapatta Petroleum qui continue de servir de couverture.

Dans le même temps, la CIA finance et entraine les talibans en Afghanistan, avec l'étroite participation d'Oussama Ben Laden, dont l'un des demi-frères, Shafiq Ben Laden, était par ailleurs entré au conseil d'administration du Groupe Carlyle, où siégeaient également Bush et Franck Carlucci (ex directeur de la CIA).

En 1988, George Bush devient à son tour président. 3 ans plus tard, il proclame le "nouvel ordre mondial" dans une déclaration devenue célèbre, et lance la "guerre du golfe" après avoir induit Saddam Hussein en erreur pour le pousser à envahir le Koweit.

Après quoi, l'Irak est placé sous un embargo qui va l'affaiblir et en faire une proie future facile.

C'est aussi sous la présidence de Bush père que Mikhaïl Gorbatchev a été éjecté suite aux manoeuvres de Boris Eltsine, qui était probablement un pion des Etats-Unis pour empêcher Gorbatchev de promouvoir sa "3è voie" (alternative entre capitalisme et communisme), pour faire éclater l'URSS et en détacher notamment les républiques du sud avec leurs gisements de pétrole, et enfin, pour brader l'économie russe aux investisseurs occidentaux.

En 2001, Bush-fils devient président grâce à une élection truquée, et avec une administration composée des anciens ministres de Bush père.

9 mois plus tard, les attentats du 11 septembre sont organisés avec la collaboration de Ben Laden... qu'un agent de la CIA avait rencontré à Dubaï 2 mois avant.

Ajoutons que George Bush père est aussi un membre du CFR, de la Trilatérale, du Groupe de Bilderberg, des Skull and Bones déjà cités, et un membre supposé de Majestic 12.

Incroyable comme les fils se recoupent, non ?...
27.02.2010


Werner Von Braun et son équipe sur la base de Fort Bliss au Texas où ils travaillaient dans les années 50 pour la recherche du département de la Défense.

Dès la fin de la seconde guerre mondiale, la CIA lançait l'opération "Paperclip" destinée à recruter des anciens nazis spécialistes de l'espionnage, des fusées, mais aussi de la propagande, du conditionnement mental, de la guerre chimique et bactériologique, de l'expérimentation médicale et de la torture. Le but était de mettre leurs "talents" au service des Etats-Unis dans la lutte contre le nouvel ennemi: l'Union Soviétique et le communisme.

C'est ainsi que 1500 nazis, tous criminels de guerre, ont été intégrés à la CIA, dans l'armée, et dans l'industrie de l'armement où ils allaient diffuser leur mode de pensée, leurs méthodes, et tisser leurs réseaux. Parmi eux, il y avait notamment Werner Von Braun qui allait devenir le concepteur des fusées de la NASA et des missiles balistiques de l'armée, après avoir conçu les fusées allemandes V2 qui étaient utilisées par les nazis pour bombarder Londres.

Ce noyau de nazis transplantés au coeur du système américain était en phase avec une partie de l'élite américaine qui partageait la même vision et les mêmes objectifs: eugénisme, domination d'une "race supérieure", suppression de la démocratie, absence de toute considération éthique, idée que "la fin justifie les moyens", etc.

L'opération Paperclip a été dirigée par Allen Dulles, qui dirigea ensuite la CIA où il conçut l'opération Northwood (opération false flag de faux attentats contre des avions qui auraient ensuite attribués à Cuba afin de justifier son invasion). Ce qui lui valu d'être viré de la CIA par Kennedy choqué qu'un tel projet ait pu être imaginé.

Après quoi, Dulles a probablement participé à l'organisation de l'assassinat de Kennedy. Il a ensuite été l'un des 8 membres de la commission Warren chargée par Lyndon Johnson de "faire la lumière" sur l'assassinat et qui est à l'origine de la version officielle de la balle magique avec tireur unique.

En fait, les nazis ont perdu la guerre, mais ils ont gagné l'après-guerre. Grâce aux Etats-Unis, ils sont acquis un pouvoir planétaire, au-delà de ce qui leur aurait été possible à partir de l'Allemagne ou même de l'Europe. Et pour contrôler la population, ils disposent désormais de technologie qui relèguent Hitler et la Gestapo au rang d'amateurs (fichiers informatiques, RFID, vidéosurveillance, biométrie, génétique, armes nucléaires, télévision, etc).


Voici un extrait de documentaire à propos de l'opération Paperclip et Allen Dulles (par ailleurs lié aux Rockefeller et à la Standard Oil), avec une interview de Robert Steele, ex agent de la CIA qu'on avait déjà pu voir dans "le monde selon Bush".




Un autre documentaire où il est question de l'opération Paperclip et surtout des expériences secrètes de la CIA pendant les années 50 à 70, pendant la "guerre froide": tests d'armes chimiques et bactériologiques sur des citoyens américains et des prisonniers, et surtout ce que la CIA appelait la "guerre psychologique", c'est à dire le lavage de cerveau et la reprogrammation mentale...

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A voir également, cet extrait de la "Stratégie du choc", le documentaire de Naomi Klein...

Quelques liens sur l'opération Paperclip:
rr0.org"
Réseau Voltaire"
Wikipedia"
28.02.2010


Extrait de documentaire sur cette société secrète à orientation satanique qui recrute parmi l'élite des étudiants de Yale et de Harvard et dont sont membres notamment George Bush père et fils, ou encore John Kerry, le concurrent de Bush à l'élection de 2004...


Comme dit l'Oracle dans Matrix 2, "Que veulent les gens qui ont déjà le pouvoir? Encore plus de pouvoir !"

Et le pouvoir suprême est le pouvoir sur d'autres êtres. D'où ce penchant pour la domination perverse et les "parties fines" où se mélangent sexe et rites satanistes.

Ce que montre le film "Eyes Wide Shut" de Stanley Kubrick donne une très bonne idée de ces "soirées" entre gens de la haute société...






Bien sûr, lorsque George Bush ou John Kerry sont interrogés sur une télé américaine à propos de leur appartenance aux Skull and Bones, ils éludent la question...

voir la vidéo (en anglais)


Et quand ce n'est pas un journaliste accrédité mais un citoyen ordinaire qui pose la question, voici ce qui arrive...

Cet étudiant a été tasé pendant une conférence de Jonh Kerry à cause d'une question sur son appartenance aux Skull & Bones...

voir la vidéo
 
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