10.01.2010


Suite aux révélations de la presse, les gouvernements français, allemands et hollandais ont reconnu qu'ils tentent actuellement d'écouler leurs stocks de vaccins à l'étranger (principalement au Mexique, en Ukraine et au Moyen-Orient), suite au grand flop de la campagne de vaccination et de la propagande médiatique pour attiser la peur du virus, puis pour faire croire que les centres de vaccinations étaient pris d'assaut (selon la méthode Coué déjà utilisée pour faire croire que la crise financière était finie).

Avertis de la présence d'agents toxiques dans les vaccins produits à la va-vite et sans tests, et conscients par ailleurs du faible risque du virus, une écrasante majorité de personnes a préféré ne pas se faire vacciner.

Conseillée par des "experts" qui travaillent pour les firmes pharmaceutiques, dont celles qui fabriquent le vaccin, la ministre française de la santé (qui travaillait elle-même pour des entreprises pharmaceutiques avant d'entrer en politique, voir cet article) avait acheté 94 millions de doses, pour un montant de 850 millions d'euros que se sont partagé 4 multinationales pharmaceutiques (Glaxo, Baxter, Novartis et Sanofi-Aventis). Comme les autres ministres de la santé européens, Roselyne Bachelot avait suivi également les directives de vaccination massive émises par l'OMS, l'Organisation Mondiale de la Santé, elle aussi conseillée par des experts payés par les labos pharmaceutiques.

Contrairement aux rumeurs propagées par certains sites, il ne s'agissait pas de réduire la population mondiale, mais plutôt d'engraisser les firmes pharmaceutiques sur le dos des contribuables.

L'arnaque apparait maintenant au grand jour, à tel point que le 7 janvier 2010, des parlementaires du Conseil de l'Europe ont réclamé la création d'une commission d'enquête pour évaluer les conséquences du déclenchement de la pandémie, sa prise en charge aux niveaux nationaux et européen, et les bases sur lesquelles l'OMS a décrété qu'il s'agissait d'une pandémie.

La question sera à l'ordre du jour de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe lors de sa session du 25 au 29 janvier où l'OMS et des laboratoires pharmaceutiques seront invités pour un débat à huis-clos.