26.03.2011
La Babylone moderne et ses villes tentaculaires, son architecture écrasante, toujours sur-dimensionnée, destinée à affirmer la puissance des dirigeants... Des mégapoles qui s'étendent à perte de vue, inhumaines et... dévoreuses d'énergie !
Tout ceci ne pourrait exister sans une consommation débridée de pétrole, sans de nombreuses centrales nucléaires, sans une consommation effrénée de matières premières, sans une pollution à large échelle de l'environnement.
Mais l'épuisement du pétrole, de l'uranium et des autres matières premières dont dépend Babylone font partie des rares événements futurs qui sont absolument certains...
Babylone ne sait pas faire petit. Elle recherche le quantitatif plutôt que le qualitatif, l'accumulation de richesses matérielles plutôt que la spiritualité, la domination et le pouvoir plutôt que le bonheur des hommes.
La Babylone antique a fondé son pouvoir sur des guerres perpétuelles et sur l'asservissement des autres peuples. Ce fut aussi la première civilisation urbaine, en rupture avec la nature, la première aussi à détruire son environnement. Il y a 6000 ans, l'actuel Irak était une région de prairies verdoyantes. A cause d'une agriculture intensive inappropriée, Babylone en a fait un désert où la végétation n'a jamais repoussé.
Babylone s'est ensuite "réincarnée" dans Rome qui a repris tous les principes babyloniens. Puis Rome engendré la civilisation européenne qui s'est répandue dans le monde entier en détruisant la plupart des autres cultures, imposant son modèle de société et sa pseudo-religion par des massacres et des génocides.
En ligne directe avec la Babylone antique, la Babylone moderne méprise la nature et mène une guerre contre elle, ne vénérant que les créations artificielles, car celles-ci affirment le pouvoir et la gloire de l'homme en rébellion contre l'ordre de l'univers et dont le maître est Lucifer, Baal ou Moloch...
Babylone est une civilisation maléfique, contraire à la nature humaine, une civilisation anti-vie.
En photo, Los Angeles, New York, Dubaï, Tokyo et Hong Kong...
Tout ceci ne pourrait exister sans une consommation débridée de pétrole, sans de nombreuses centrales nucléaires, sans une consommation effrénée de matières premières, sans une pollution à large échelle de l'environnement.
Mais l'épuisement du pétrole, de l'uranium et des autres matières premières dont dépend Babylone font partie des rares événements futurs qui sont absolument certains...
Babylone ne sait pas faire petit. Elle recherche le quantitatif plutôt que le qualitatif, l'accumulation de richesses matérielles plutôt que la spiritualité, la domination et le pouvoir plutôt que le bonheur des hommes.
La Babylone antique a fondé son pouvoir sur des guerres perpétuelles et sur l'asservissement des autres peuples. Ce fut aussi la première civilisation urbaine, en rupture avec la nature, la première aussi à détruire son environnement. Il y a 6000 ans, l'actuel Irak était une région de prairies verdoyantes. A cause d'une agriculture intensive inappropriée, Babylone en a fait un désert où la végétation n'a jamais repoussé.
Babylone s'est ensuite "réincarnée" dans Rome qui a repris tous les principes babyloniens. Puis Rome engendré la civilisation européenne qui s'est répandue dans le monde entier en détruisant la plupart des autres cultures, imposant son modèle de société et sa pseudo-religion par des massacres et des génocides.
En ligne directe avec la Babylone antique, la Babylone moderne méprise la nature et mène une guerre contre elle, ne vénérant que les créations artificielles, car celles-ci affirment le pouvoir et la gloire de l'homme en rébellion contre l'ordre de l'univers et dont le maître est Lucifer, Baal ou Moloch...
Babylone est une civilisation maléfique, contraire à la nature humaine, une civilisation anti-vie.
En photo, Los Angeles, New York, Dubaï, Tokyo et Hong Kong...
Exemple d'une civilisation et d'une philosophie de la vie à l'opposé de Babylone: les Indiens d'Amérique ! |