26.09.2009


"Oil, Smoke & Mirrors" est un documentaire d'interviews qui relie deux événements cruciaux de ce début de siècle: la fin du pétrole (le "peak oil") et les attentats du 11 septembre.

L'essentiel de ce que nous produisons et consommons, y compris l'alimentation, dépend du pétrole. Certains experts disent que le peak oil (le point maximum de la production de pétrole) sera atteint dans 5 ou 10 ans. D'autres pensent sur nous y sommes déjà.

La production des deux plus gros producteurs européens, la Grande Bretagne et la Norvège, a déjà amorcé son déclin depuis 1999 respectivement, avec une baisse de 6% par an environ. Le déclin de la production a également commencé pour 53 autres pays producteurs de pétrole ou de gaz.

Les 4/5è de notre consommation actuelle de pétrole provient de gisements découverts avant 1970. A l'heure actuelle, nous consommons chaque année 3 fois plus de pétrole que nous en découvrons. Et les nouveaux gisements découverts sont de moins en moins nombreux et de plus en plus difficiles à extraire ou à transformer.

Lorsque l'offre de pétrole commencera à devenir insuffisante par rapport aux besoins, cela entraineront des changements sans précédents dans l'histoire récente, avec à la clé un lent mais inéluctable effondrement de l'économie.

Le peak oil est une échéance majeure à laquelle les thinks tanks du gouvernement mondial réfléchissent depuis longtemps, en particulier le CFR dont Dick Cheney a été le directeur avant de devenir le vice-président de Bush.

Le contrôle des dernières réserves de pétrole étaient un objectif stratégique du Project for a New American Century (PNAC), le think tank néo-conservateur d'où provenait la majorité des membres de l'administration Bush. Sous couvert de "lutte contre le terrorisme", le PNAC désignait une cinquantaine de pays pour une intervention militaire des Etats-Unis. Pratiquement tous ces pays étaient comme par hasard des producteurs de pétrole ou de gaz.

Alors, les attentats du 11 septembre avaient-ils un lien avec la fin du pétrole ? C'est la question à laquelle ce documentaire tente de répondre... On y retrouve notamment Michael Meacher, ex-ministre et député travailliste britannique, et Andreas von Bulöw, ex-ministre et député allemand du SPD, qui ont très tôt exprimé publiquement leurs doutes à propos de la version officielle du 911.

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Voir aussi cet autre article à propos de la fin du pétrole, avec un excellent documentaire d'Arte, "Pétrole, cruel sera le réveil"
18.09.2009



Le 15 septembre, l'émission de Frédéric Taddei était consacrée à la question "peut-on contester ce que l'on dit du 11 septembre". Il est vrai qu'on peut se poser cette question tant l'omerta règne habituellement dans les médias à ce sujet. Dès que quelqu'un ose émettre des doutes sur la version officielle, il se fait immédiatement insulter et trainer dans la boue par les chiens de garde du système qui sont les invités permanents des plateaux TV.

Mais la version officielle du 911 est tellement improbable et comporte tellement de zones d'ombre que de plus en plus de personnes s'interrogent ouvertement.

C'est le cas de Mathieu Kassovitz qui était l'un des invités de l'émission...

Egalement présent sur le plateau, Eric Raynaud, auteur du livre "11 septembre - les vérités cachées".

voir la 2è partie de l'émission
18.09.2009
Sur Canal+, "Jeudi investigation" diffuse souvent d'excellentes enquêtes. Mais en avril 2008, sur le sujet du 11 septembre, l'émission s'est consacrée avec hargne à démolir le film "loose change", avec une malhonnêteté journalistique qui rappelle une autre émission de triste mémoire diffusée sur Arte et produite par des "journalistes" par ailleurs membres du "Cercle de l'Oratoire", un groupe d'influence pro-américain et pro-israélien.

Démontage de cette opération de désinformation...





Autre exemple éloquent avec l'émission diffusée par France 2 le 11 septembre 2009. Son présentateur, Franz-Olivier Giesbert (journaliste du Nouvel Obs devenu rédacteur en chef du Figaro, membre du Groupe de Bilderberg et du "Siècle") avait pris soin d'inviter l'un de ces chiens de garde de la vérité officielle, Mohamed Sifaoui, afin de démolir son autre invité, Eric Raynaud, auteur du livre "11 septembre, les vérités cachées".

Mohamed Sifaoui a utilisé les toutes méthodes habituelles des bons petits soldats de la propagande officielle: empêcher l'adversaire de parler en l'interrompant sans cesse, bombardement de paroles agressives et d'insultes, contre-vérités, amalgames simplificateurs et malhonnêtes, utilisation des invectives et du dénigrement plutôt que des arguments.

Et loin de jouer son rôle d'arbitre, Franz-Olivier Giesbert était clairement dans le camp de Mohamed Sifaoui, oeuvrant à la défense des mêmes intérêts.

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16.09.2009
Pour ce qui ne connaitraient pas, cette géniale séquence du film "They live" de John Carpenter, sorti en 1989 et dont le titre a curieusement été traduit en français par "Invasion Los Angeles".

C'est l'histoire d'un Américain ordinaire qui vient de perdre son emploi. Errant dans la ville à la recherche d'un travail, il voit une société qui s'enfonce dans la misère et la précarité auxquelles s'ajoute une répression policière brutale et aveugle.

Par hasard, dans une église qui abrite des exclus persécutés par la police, il trouve un carton rempli de lunettes très spéciales... elles permettent de voir la réalité de notre société au-delà des apparences, avec sa propagande, masquée, subliminale mais omniprésente.

Il découvre aussi que le monde est contrôlé par une autre race dont les "vrais" humains sont devenus les esclaves...



 
15.09.2009



La 4è guerre mondiale (si on compte la guerre froide comme la troisième) est une guerre sociale, une guerre des riches contre les pauvres.

C'est la lutte des classes inversée. C'est une guerre mondiale, une guerre silencieuse, dont les morts sont uniquement des civils.

Cette guerre au bénéfice des multinationales est menée très largement par des moyens économiques, mais elle utilise au besoin la guerre, la répression policière, les coups d'état contre des gouvernements élus, l'instauration de dictatures d'extrême-droite et l'élimination des opposants, syndicalistes ou militants de gauche, comme en Amérique du Sud dans les années 70 avec l'opération Condor.

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09.09.2009



"Chronos" est un film de 40 minutes en forme de réflexion sur le temps, notre civilisation et son évolution (de ses racines égyptiennes et babyloniennes à aujourd'hui), avec uniquement des images et de la musique, sur le même principe que "Koyaanisqatsi". Sorti en 1985, Chronos est le premier film de Ron Fricke qui a réalisé par la suite "Baraka" en y développant le même principe de "timelapse" (images en temps modifié, accéléré ou ralenti). Ron Fricke était aussi le directeur de la photographie de "Koyaanisqatsi".

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