Fin de la démocratie  
08.05.2009
Le régime de Bush avait fait construire plus de 600 camps de concentrations répartis à travers tout le pays. En voici la carte:



Ces camps sont gardés par l'armée sous la direction de la FEMA (Federal Emergency Management Agency, agence fédérale pour la gestion des situations d'urgence). A l'origine, la FEMA avait été créée pour des urgences sanitaires (attentats biologiques, épidémies, ou catastrophes naturelles). Mais plusieurs décrets signés par Bush ont complètement réorienté l'activité et la finalité de la FEMA vers une mission militaire dirigée contre la population civile.

Dans les camps de la FEMA, de grands périmètres grillagés et entourés de miradors semblent destinés à parquer des prisonniers en masse. Il y a aussi des grands hangars en béton avec un système de vannes et de tuyauterie reliée à des réservoirs de gaz. La plupart de des camps sont desservis par des voies ferrées. Il ne manque plus que les trains de prisonniers...

Et justement, les trains existent aussi. Neuf témoins, dans 5 Etats différents, ont pu constater la présence de nombreux wagons de trains vides avec 143 paires de menottes et de chaines à l'intérieur, attachées soit sur les murs, soit sur les parois. La plupart de ces trains sont peints en noir.

Voici une vidéo tournée dans l'un de ces camps. C'est en anglais mais les images parlent d'elles-mêmes.

On peut y voir aussi que le camp est divisé en deux zones, la zone bleue et la zone rouge. Cela se recoupe avec les infos sur les listes rouges et bleues de dissidents et opposants qui seraient arrétés et emprisonnés en 2 vagues de rafles successives dans le plan élaboré par Dick Cheney pour faire basculer les Etats-Unis dans un régime totalitaire, à l'occasion d'une instauration de la loi martiale.

L'utilisation de ces camps est devenue moins probable après l'élection d'Obama. Après sa décision de fermer Guantanamo et de mettre fin à la torture, les Etats-Unis semblent à nouveau sur le chemin de la démocratie, mais pour combien de temps...?

Voir cet autre article du blog à propos des camps<
03.05.2009
La crise systémique en cours est en train de jeter à la rue des millions de personnes dans de nombreux pays où le libéralisme a détruit la protection sociale et appauvri les salariés. (par la hausse des prix conjuguée à la stagnation des salaires, du fait de la mondialisation qui augmente la "concurrence" sur le marché du travail)

Dans le même temps, la minorité qui s'est enrichie en appauvrissant la majorité continue de se goinfrer de façon indécente, rendant l'injustice du système criante aux yeux de tous.

Pour contrer la révolte qui monte contre les bénéficiaires perpétuels du système, il était nécessaire de lancer une grande opération de diversion, avec éventuellement une augmentation de la pression policière et de l'ingérence de l'état dans la vie des citoyens.

Au minimum, la grippe porcine va occuper l'espace médiatique et distraire les esprits pendant de nombreuses semaines, afin de détourner l'attention de la crise et de ses conséquences sociales.

L'autre avantage d'un virus transmissible par la respiration est de créer la peur (génératrice d'inhibition de l'action) et d'inciter les gens à s'isoler et à éviter les lieux remplis par la foule... comme par exemple les manifestations !

Mais d'après des rumeurs invérifiables propagées par certains sites, le H1N1 pourrait avoir des buts encore plus sombres: l'instauration de la loi martiale ou d'un régime d'exception, avec la déportation dans des camps ou la détention dans des écoles ou des stades de milliers de personnes suspectées d'être porteuses du virus.

Ce qui est sûr, c'est que ce virus a une structure génétique étrange qui semble le résultat d'une manipulation en laboratoire. C'est en effet un assemblage improbable de gènes provenant de plusieurs autres virus de la grippe apparus à des périodes différentes dans des régions différentes (grippe aviaire nord-américaine, grippe humaine classique, grippe espagnole de 1918, et grippes porcines nord-américaine et eurasienne). Il y a donc peu de chances que l'origine de ce virus soit naturelle.



voir aussi l'article sur les camps de concentration de la FEMA aux Etats-Unis
11.02.2008
Dix jours avant d'être assassiné, John Kennedy avait annoncé son intention de révéler un complot contre la démocratie. Dans un discours fait à l'Université Columbia le 12 novembre 1963, il déclarait:
"La direction du Bureau du Président a été utilisée pour fomenter un complot pour anéantir la liberté des Américains, et avant que je ne quitte le Bureau, je dois informer les citoyens de ces conditions."

Quelques mois plus tôt, le 27 avril 1961, dans son discours devant l'association de la presse américaine (American Newspaper Publishers) au au Waldorf-Astoria Hotel à New York, il évoquait l'existence de sociétés secrètes agissant dans l'ombre, ne rendant de comptes à personne...

A l'époque, tout le monde avait pensé qu'il faisait allusion à l'Union Soviétique et aux méthodes des communistes, mais peut-être voulait-il aussi parler des Etats-Unis.




le texte intégral du discours à la presse (en anglais)
23.01.2008

Le documentaire "les mystères du 11 septembre" est une enquête appronfondie sur l'effondrement du World Trade Center. Les témoignages de nombreuses personnes, notamment des pompiers présents dans la tour, font état de forts bruits d'explosions qui ont précédé l'effondrement. Par ailleurs, l'étrange efffondrement de l'immeuble numéro 7 n'a fait l'objet d'aucune investigation du FBI. La seule explication officielle est celle donnée par le propriétaire de l'immeuble 7, et elle est complètement incohérente. Selon des spécialistes, ces effondrements ressemblent en tous points à des démolitions contrôlées par explosifs. Enfin, on apprend que d'étranges travaux avaient eu lieu au Word Trade Center une semaine avant les attentats, et que le directeur de la société de sécurité chargée du WTC n'était autre qu'un membre de la famille Bush...

L'hypothèse de la démolition contrôlée est la plus probable pour l'immeuble 7, mais pas forcément pour les 2 tours principales. La puissance destructrice des ondes de choc provoquées par l'extrême violence du 2è impact peut expliquer l'effondrement de la tour Sud, celui-ci générant des vibrations qui ont achevé de fragiliser la tour Nord, mais à vous de juger.

Quoi qu'il en soit, de nombreux autres faits bien établis suffisent à démontrer l'implication de l'administration Bush dans les attentats:
- projets de la mafia Bush pour envahir l'Irak avant même son arrivée à la Maison-Blanche
- recherche d'un prétexte pour justifier cette invasion
- liens entre Ben Laden et la CIA pendant l'occupation russe de l'Afghanistan
- liens financiers entre les familles Bush et Ben Laden (notamment au sein du groupe Carlyle)
- visite d'un agent de la CIA à Ben Laden hospitalisé à Dubai 2 mois avant les attentats
- surveillance des réseaux islamistes délibérément mis en veilleuse pendant les mois précédent les attentats
- avions de chasse empêchés d'intervenir pour intercepter les boeings détournés
- nombreuses invraissemblances de la version officielle (impossibilité de retrouver intact le passeport de Mohamed Atta dans les décombres, impossibilité d'un impact d'avion contre le Pentagone...)
- lois liberticides prêtes à etre adoptées seulement 6 jours après les attentats
- absence d'enquête du FBI sur les attentats
- absence totale d'enquête sur l'effondrement de l'immeuble 7
- enterrement de l'enquête pour retrouver ceux qui étaient manifestement au courant que les attentats allaient avoir lieu et qui avaient spéculé en bourse sur la chute des actions des compagnies aériennes et des assurances...
14.04.2007
Le problème des élections, c'est que le peuple n'a pas toujours le bon goût de faire les mêmes choix que les élites dirigeantes, malgré toute la propagande médiatique. Les machines à voter sont la solution pour s'assurer que la populace fasse "le bon choix", et pour parachever l'escamotage en douceur de la démocratie.

Les machines à voter sont en réalité des ordinateurs, et le comptage est effectué par 2 puces programmables amovibles, très faciles à remplacer. Il est aussi possible de pirater la machine de l'extérieur, en y implantant un virus.

Le comptage étant effectué par une puce, il devient totalement opaque pour tout observateur extérieur. Le seul moyen de contrôle étant un démontage de la puce pour lui faire subir une série de tests techniques par un ingénieur informatique, ce qui est impossible à faire dans un bureau de vote.

De plus, les machines à voter signifient la fin de l'anonymat du vote, chaque électeur devant insérer une carte dans la machine pour s'identifier. Dès lors, rien n'empêche techniquement de mémoriser qui a voté quoi. Tout se passera là encore dans le secret des entrailles de la machine.

Nicolas Sarkozy a déjà dit qu'il souhaitait généraliser les machines à voter. Les arguments avancés par les partisans de la puce sont la rapidité du comptage et les économies de papier. Pour la rapidité du vote, c'est faux. Les Etats-Unis où la majorité des électeurs votent avec des machines à voter, les résultats des élections sont connus beaucoup moins rapidement qu'en France. Quand au papier, son coût est minime si c'est là le prix à payer pour le maintien de la démocratie.

En France, un peu plus de 1 million d'électeurs voteront sur des machines en 2007. Dans d'autres pays comme l'Irlande, les citoyens ont obtenu le retrait des machines à voter.

 
En vidéo, la chronique de Léon Mercadet sur iTélé et un reportage à propos des machines à voter et la façon dont on peut les manipuler.



infos et pétition contre les machines à voter
28.03.2007
Un officier de police judiciaire qui a démissionné explique comment la politique de Sarkozy encourage les policiers à "faire du chiffre" pour produire des statistiques flatteuses, au détriment du traitement des vrais problèmes.

Le témoignage de ce policier permet de comprendre comment fonctionne la Police de Sarkozy, et pourquoi on peut désormais subir une garde à vue pour la moindre broutille.

Il explique aussi les changements structurels instaurés par Sarkozy et qui changent de façon dangereuse la fonction même de la police dans la société.

voir la vidéo
12.03.2007
Edwy Plenel, journaliste et directeur de la rédaction du journal Le Monde, explique pourquoi Nicolas Sarkozy agraverait toutes les crises dont souffre la France, et pourquoi il serait un danger pour la démocratie.

11.01.2007
Dans l'Angleterre orwellienne de Tony Blair, des caméras de vidéo surveillance ont été associées à des haut-parleurs placés dans les rues. Ainsi, la police peut non seulement vous surveiller, mais aussi s'adresser directement à vous, par exemple pour vous ordonner de ramasser le mégot que vous venez de jeter négligemment par terre...

Bientôt en France? "C'est possible avec Nicolas Sarkozy".

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