04.02.2008
Nos responsables politiques n'aiment pas les questions sur leur appartenance aux organisations du gouvernement mondial occulte. Si on les interroge sur leur lien avec le Groupe de Bilderberg ou les sociétés secrètes satanistes comme le Bohemian Club et les Skull and Bones, alors le masque de la démocratie tombe brutalement...

1er incident révélateur:
Aux Etats-Unis le 4 janvier 2008, à une réunion électorale d'Hillary Clinton accompagnée de son époux Bill Clinton, l'étudiant en sociologie Nick Carangi a interrogé l'ancien président sur son appartenance au Groupe de Bilderberg et sur les lois liberticides adoptées après le 11 septembre 2001.

Quelques jours plus tard, deux agents des services secrets lui ont rendu visite chez ses parents et l'ont interrogé sur ses motivations. Pourquoi se soucie-t-il des libertés constitutionnelles? Et serait-il prêt à user de la violence pour défendre la Constitution?
Les agents ont commencé à lui parler de son site web, des vidéos qu'il y publie, des textes qu'il y écrit sur la défense des droits civiques et des libertés individuelles. A plusieurs reprises ils lui ont fait comprendre que son avenir professionnel risquait de pâtir de son "activisme" et du fait qu'il "propage des théories conspirationistes sur le 11 septembre ou sur les Bilderberg".
 
2e incident:
A une autre réunion électorale d'Hilary, un jeune homme a interrogé Bill Clinton sur son appartenance au Bohemian Club (ou Bohemian Grove). Voici une vidéo où le voit poser sa question (éludée par Clinton) avant d'être embarqué par les policiers.



 
3e incident:
Lors d'un débat public avec John Kerry le 17 septembre 2007, l'étudiant Andrew Meyer a interrogé l'ex candidat à la présidence sur son appartenance aux Skull and Bones, dont est également membre son ex concurrent pour l'élection de 2004, George W.Bush.
Rapidement, le jeune homme est interpellé, jetté à terre, menotté et tasé par des policiers.

Le plus scandaleux est que John Kerry n'est pas intervenu pour faire cesser ces violences et défendre la liberté d'expression. Soulagé de ne pas avoir à répondre, il remercie les techniciens d'avoir coupé le micro à l'étudiant, avant de continuer sa conférence comme si de rien n'était.



 
Une 2è vidéo qui montre l'incident dans son intégralité: